Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/102

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

a pas d’auberge, je me logerai dans la première cabane que je rencontrerai.

— Si vous voulez croire le conseil d’un honnête gars, vous ne vous logerez nulle part, et vous ne passerez pas la nuit à Penmark ! un homme qui sème sur sa route les écus comme vous faites n’aurait jamais dû venir ici !

— Oh ! je connais de réputation les mœurs hospitalières des Penmarkais, répondit l’inconnu, à qui les paroles d’Alain ne parurent causer aucune émotion. Je me tiendrai sur mes gardes.