Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/113

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Bretons, il crut que la Providence répondait à son désir, et lui envoyait cet ami après lequel il soupirait.

Ce ne fut donc pas sans un certain battement de cœur qu’il vit apparaître Alain.

— Notre maître, s’écria le domestique, c’est un étranger qui demande l’hospitalité pour lui et son cheval.

— Place le cheval à l’écurie et dis à cet étranger que je suis tout à ses ordres… Mais, non, arrête… il est plus convenable que j’aille le recevoir en personne…