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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/178

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— Oui, mon maître, allons-nous-en, ajouta Alain, qui désirait assister à la curée du bien de Dieu.

— Silence ! s’écria le jeune homme, je vous demande de l’obéissance et non des conseils ! Sauver ce navire est, je le sais aussi bien que vous, une chose impossible : mais peut-être parviendrons-nous à arracher quelque victime à la mort !

— Notre embarcation, maître, vous ne l’ignorez pas, cesse de gouverner quand elle est montée par plus de sept personnes, hasarda timidement Alain.