Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/192

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lement l’étranger avait perdu connaissance.

Cette scène dramatique avait à peine duré cinq minutes.

— Allons, reprit le maquignon ; à présent nageons ferme, et tâchons de gagner le rivage avant que la tempête ne recommence.

Tous ces événements s’étaient passés si rapidement que de Morvan n’avait pas même remarqué le visage de Nativa ; aussi, lorsque plus trenquille d’esprit, il regarda la jeune fille qui