Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/217

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— Avez-vous envie de recommencer une nouvelle promenade en mer ? dit le maquignon Mathurin, avec ce sang-froid un peu moqueur qui semblait lui être habituel.

— Non, répondit le jeune homme, mais je ne tiens nullement à être massacré. Regardez donc un peu la réception que l’on nous prépare sur la plage.

— Tiens, s’écria Mathurin, en levant les yeux, mais ils sont pleins de persévérance ces braves Penmarkais ! C’est fort joli à eux d’avoir ainsi attendu notre retour sans se décourager pendant