Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/286

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

valier, pour devenir si riches et si puissants ?

— Je l’ignore, seulement je te jure, foi de Morvan, que si une balle ne m’arrête pas dans course, j’arriverai.

— Et moi je vous suivrai : ça me va toujours.

Le gentilhomme breton, accablé par l’effort qu’il venait de faire, laissa retomber sa tête sur son oreiller, et ne tarda pas à s’endormir d’un sommeil bienfaisant et réparateur.