Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/308

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le jeune homme, qui répondit en souriant :

— Je suis Breton, mademoiselle. C’est assez vous dire que je crois à tous les faits dont l’explication dépasse mon intelligence.

— Chevalier, vous avez raison !

— Puis-je vous demander, mademoiselle, reprit de Morvan, le motif qui vous fait m’adresser cette question.

— Certes. Je réfléchis que ma rencontre prouve que vous êtes né sous une in-