Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/64

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abuser de ce que le bon ? Dieu vous a fait plus fort que moi ; vous auriez honte de votre triomphe !… Quant à ma façon de voir les choses ; il est inutile que je converse là-dessus avec vous, puisque entendre la vérité vous met aujourd’hui en fureur.

Le flegme du paysan bas-breton désarma le gentilhomme qui reprit en adoucissant sa voix :

— Tu peux parler sans crainte, Alain, je de promets, moi, de t’écouter sans colère !