Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/92

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ment, je te le répète, à quelques questions insignifiantes.

— Et c’est pour cela que vous me donnez un écu ! Enfin, si c’est votre idée ! parlez, je vous écoute.

— Tu es du village de Penmark, et tu connais, sans nul doute, monsieur le chevalier Louis de Morvan, n’est-ce pas ?

Alain, en entendant prononcer par l’inconnu le nom de son maître, éprouva un vif étonnement ; toutefois, il n’en laissa rien paraître.