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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/118

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Malgré les hypothèses sans nombre auxquelles ils se livrèrent, ils ne purent jamais parvenir à s’expliquer sa conduite.

Alain ne mettait pas un instant en doute que le maquignon ne fût un sorcier.

Le chevalier, moins crédule, repoussait cette supposition, qui, au reste, laissait toujours la question intacte et irrésolue, car, en admettant même le pouvoir surnaturel de Mathurin, comme un fait incontestable, res-