Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/220

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tous les deux, ou du moins si je les ai touchés, faut croire que les balles envoyées par les mousquetons ne sont pas bien dangereuses, car mes deux gredins ont continué leur chemin comme si de rien n’était. J’avais tout de même joliment visé !…

— Allons ! cette fois tout espoir est perdu, murmura de Morvan en reprenant le chemin de l’auberge.

— Aussi, pourquoi vous êtes-vous mêlé des affaires de ces gens-là, je vous avais averti.