Aller au contenu

Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/229

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

drait probablement pas à temps Paris pour y retrouver Nativa.

Cette pensée lui torturait le cœur et lui faisait éprouver des élans d’une rage folle.

Il eût certes, en ce moment, vendu sans hésiter dix années de sa vie pour une poignée d’or.

La profonde scélératesse de la prétendue fille du chimérique comte de Blinval, confondait également son esprit : il ne comprenait pas tant de ruse et de perfidie.