Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/54

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affreux rendaient, sinon impraticable, du moins fort difficile aux voyageurs.

Son cheval Bijou n’en pouvait plus, mais, par une heureuse compensation, son domestique Alain n’était pas plus fatigué que s’il se fût agi pour lui d’une simple promenade.

Décidément, le serviteur bas-breton semblait né pour ce rôle d’écuyer pédestre que lui imposait la pauvreté de son maître.

L’image de Nativa, est-il besoin de le