Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/100

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retomber le marteau, qu’un laquais, revêtu d’une livrée magnifique, se présenta.

— Annonce à M. le comte le baron Legoff, lui dit Mathurin.

— Monsieur le baron devrait d’abord me demander si M. le comte est visible ? répondit le valet avec une politesse affectée, qui frisait l’impertinence.

Mathurin fronça imperceptiblement les sourcils, prit, sans mot dire, le valet par sa cravate, et l’envoya rouler à trois pas plus loin.