Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/107

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çait ces paroles, le regardait avec une vive attention ; il tenait à s’assurer qu’il n’avait pas un fou devant lui.

— Monsieur Legoff, lui-dit-il tout à coup en se levant, savez-vous bien devant qui vous vous trouvez en ce moment ?

— Parfaitement, monsieur le comte, devant un homme que beaucoup de gens ne savent pas apprécier à sa juste valeur, qui fait trembler madame de Maintenon, se moque de la colère de notre grand roi, est lieutenant-général, grand