Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/74

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Buliot, je consens à être pendu, si l’on ne vous plume pas en ce moment comme un véritable dindon !

— Saprebleu ! veux-tu te taire et me laisser tranquille, stupide animal ! s’écria le bourgeois, rendu furieux par un coup aussi inattendu qu’imprévu, qui lui enlevait deux pistoles. Corbeau de mauvaise augure ! tes croassements me portent malheur !… Encore une fois, tais-toi, ou je vais te rosser d’importance !

— Je me tais, répondit tranquillement