Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/85

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

tourait le cou du malheureux drapier.

— Grâce ! je me tairai… tu m’étrangles ! murmura celui-ci d’une voix inintelligible.

La patrouille approchait ; il n’y avait pas une minute à perdre.

Alain prit promptement son parti : il passa la bourse volée dans sa ceinture, et, laissant là le malheureux drapier à moitié mort de frayeur, il s’élança de-