Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome IV, 1853.djvu/105

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— Ma foi, toute cette discussion, survenue si mal à propos au beau milieu de nos plaisirs, a tourné mon esprit au sombre, dit de Nocé. Mes amis, au revoir, je vais me coucher

— Sans rancune, n’est-ce pas ? cria Dubois en souriant à de Nocé qui s’en allait.

— Te garder rancune, l’abbé ! à Dieu ne plaise ! N’est-on pas heureux d’avoir pour compagnon l’homme doué de l’âme la plus noire et de l’esprit le