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montbars

— Cher comte, lui dit-elle, vous savez que je vous connais trop bien pour admettre de votre part une démarche d’affection ! Voyons, finissons-en, je vous en conjure : que voulez-vous ce matin ?

— Quelle profonde connaissance du cœur humain ! s’écria d’Aubigné avec admiration : réellement, bien-aimée sœur, votre sagacité atteint jusqu’au génie ! Puisque l’on ne peut rien vous cacher, j’avoue qu’en effet je suis venu pour vous demander de me rendre un petit service… Voici le fait. J’ai un de