Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome IV, 1853.djvu/214

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sa présence, son amour-propre en était agréablement flatté, et il se sentait disposé, de prime-abord, en faveur du malheureux mortel ébloui par l’éclat du Soleil.

Aussi les courtisans qui n’ignoraient pas cette faiblesse du grand roi, en tiraient-ils souvent un excellent parti. Plusieurs poussaient même la flatterie jusqu’à l’évanouissement !

Soit que Legoff ne connût pas cette particularité du caractère de Louis XIV, soit qu’il ne jugeât pas à propos de se