Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome IV, 1853.djvu/259

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discret comme un confesseur. Nous parlerons d’elle autant de fois que cela vous plaira.

Cette réponse embarrassa le jeune homme, et il hésitait à en demander l’explication, lorsque Mathurin ajouta :

— Si rien ne vous retient plus à Versailles, voulez-vous m’accompagner à Paris. J’ai là mon carrosse qui est à vos ordres !

— Ah ! vous avez un carrosse ! répéta avec surprise de Morvan qui remarqua