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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome IV, 1853.djvu/267

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ses belles illusions aux ronces du chemin ; que votre esprit restera sans étonnement et votre âme sans colère et sans souffrance devant une trahison ou une perfidie : que, derrière le séduisant et enivrant sourire d’une femme, vous saurez apercevoir l’intérêt l’ambition ou la cupidité ; alors seulement, il vous sera permis de juger, sans trop vous tromper, un homme comme moi.

Le moment est venu où je dois reprendre vis-à-vis de vous ma physionomie véritable.