Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome V, 1853.djvu/25

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

êtes encore honnête homme et vous ne savez pas mentir ! Je devine aisément au jeu de votre physionomie, à votre regard brillant de colère, à vos mains qui froissent et déchirent vos gants, que vous êtes à cent mille lieues de songer à offrir des excuses à Dubois ! Vous désirez tout bonnement que je vous fournisse le moyen de le joindre.

— Je vous assure, cher comte…

— Ah ! chevalier, voilà que vous oubliez que je suis, quoique bien jeune, un vieux courtisan… Vous voudriez