Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome V, 1853.djvu/256

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tour des barreaux, présenta sa main droite au boucanier.

Une seconde plus tard, les fugitifs se retrouvaient dans leur prison.

— Eh bien, mon garçon, dit de Montbars, que penses-tu de ce petit piège ? Ce n’était pas du tout mal combiné. Comment diable n’ai-je pas deviné cela ? J’avais mon idée d’embuscade en tête, c’est ce qui m’a fait faire fausse route… Ah ! gredin de geôlier !… Tiens !… on dirait un bruit de pas qui approchent…