Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome V, 1853.djvu/280

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À bord de ce navire qui arrivait de France, se trouvaient Montbars, de Morvan et Alain.

Il était sept heures du soir ; l’horizon embrasé par les derniers feux du jour présentait un de ces admirables et indescrptibles couchers de soleil communs sous le tropique, et dont rien pourtant, ni la plume ni le pinceau, ne saurait donner une idée.

— Eh bien, mon cher Louis, dit Montbars à son neveu tout en aspirant à pleins poumons la brise de terre, que te semble de ta nouvelle patrie ? Vois cette