Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome V, 1853.djvu/82

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tout jamais !… Votre regard brille d’orgueil, vous comptez sur votre jeunesse et sur votre courage… Hélas ! Louis, ce n’est pas votre manque de fortune qui place entre Nativa et vous un abime ! s’il ne s’agissait que d’un million pour vous rendre heureux, je vous donnerais ce million à l’instant même. Mais non, il…

— Tenez, Louis, reprit le boucanier après un court silence, j’ai fait intervenir peut-être à tort, le nom de votre père dans mes conseils ; eh bien, je termine pourtant en vous conjurant encore, au nom