Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VI, 1853.djvu/52

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et en levant les épaules d’un air de mépris, qu’on eût préféré des diamants ! Que diable ! il fallait donc s’expliquer d’une façon plus claire et plus précise. Je ne connais rien au langage des fleurs, moi !

La foule éclata de rire et Laurent se remit en marche.

Un côté de la rue se trouvant alors envahi par le soleil, les musiciens et les esclaves, porteurs du dais, longeaient, afin d’éviter ses rayons dis feu, les murs des maisons qui donnaient de l’ombre.