Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VI, 1853.djvu/79

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De Montbars prit alors son neveu par le bras et l’entraîna loin de la foule qui, dominée par cette scène rendue plus saisissante encore par la réputation des gens qui y figuraient, avait gardé un anxieux silence.

— Mon brave Louis, dit le boucanier d’une voix affectueuse, presque émue, te voilà avec une bien triste affaire sur les bras… Je donnerais ma fortune entière pour que ta mauvaise étoile n’eût pas conduit ce Laurent sur ta route !

— Vous avez tort Montbars, de vous