Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VII, 1853.djvu/167

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

troupes se séparèrent pour opérer chacune sur un point différent : l’espion Pied-Léger leur avait indiqué à l’avance les églises les plus riches et les maisons des principaux négociants de Grenade.

De Morvan était dans une perplexité extrême : si, d’un côté, il éprouvait une joie folle en songeant qu’il allait revoir sa bien-aimée Nativa ; de l’autre, il frémissait à la pensée que peut-être bien la fille du comte de Monterey le traiterait comme un bandit et l’accablerait de son mépris.