Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VII, 1853.djvu/17

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À peine ses yeux eurent-ils parcouru les premières lignes, que le jeune homme pâlit et rougit tour à tour.

— Qui t’a remis cette lettre ? demanda-t-il à Laurent.

— Un inconnu qui m’a abordé en tremblant et s’est aussitôt éloigné avec une précipitation et une frayeur qui, je te l’avouerai, m’ont paru étranges.

— Ah ! matelot, s’écria peu après de Morvan avec un élan de joie folle, si tu savais combien je suis heureux !…