Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VII, 1853.djvu/20

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cries ! Je comprends les reproches que tu es en droit de m’adresser ; j’avoue que je suis dans mon tort… Que veux-tu ! il y a dans la vie des heures solennelles qui décident à tout jamais du malheur ou du bonheur d’une existence entière. Une de ces heures vient de sonner pour moi ; je ne m’appartiens plus !…

— Bien, dit Laurent en haussant les épaules d’un air de pitié, je comprends. Il s’agit d’une amourette, d’un caprice !

— En parlant ainsi, matelot, s’écria le