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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VII, 1853.djvu/321

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chrétienne ; rien en eux ne décelait la joie et l’orgueil du triomphe.

Le cocher, chargé de conduire les mules, jugeant, vu la gravité des circonstances, qu’il pouvait déroger à la majestueuse et solennelle lenteur commandée par l’usage, avait communiqué une allure tout à fait insolite à son attelage : un quart d’heure suffit aux deux aventuriers pour atteindre le faubourg de Santa-Engracia.

— Matelot, s’écria de Morvan joyeux, j’aperçois nos embarcations qui revien-