Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VII, 1853.djvu/83

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

lui prenant la main, du courage ! Cette indisposition sera passagère : elle disparaîtra demain devant le premier rayon de soleil. Toutefois, tu ferais bien de regagner ta cabine et d’essayer de goûter un peu de repos.

— Merci de l’intérêt que tu me portes, Laurent, dit la pauvre enfant. Je remarque que tu as beaucoup changé à ton avantage. Tu es à présent, bien bon pour moi et meilleur avec tout le monde… Je ne te déteste plus…

Ces paroles naïves firent sourire le beau Laurent.