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L’EXTERMINATEUR

chait-il par les points les plus vulgaires à la vie ordinaire ; il comprenait difficilement, éprouvait une gêne véritable, et ne pouvait parvenir à lier deux idées entre elles. Requin, en un mot, était une admirable et puissante machine de carnage, mais il avait besoin d’un moteur. Aussi, pas un flibustier n’obéissait à ses chefs, comme Requin, en tant que l’ordre reçu s’accommodait à ses instincts sanguinaires.

Placé droit, immobile, devant son capitaine, Requin, sans montrer ni curiosité, ni impatience, attendait.