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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VIII, 1853.djvu/224

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MONTBARS

tures droites et simples, abandonnées à elles-mêmes et élevées en face des sublimes splendeurs de la nature, avait une poésie de langage qui s’harmonisait admirablement avec sa touchante beauté et dont le charme était irrésistible. Aussi de Morvan dut-il faire appel à tout ce qu’il y avait eu en lui de généreux sentiments pour ne pas blesser la chaste ignorance de Jeanne par une trop vive lumière.

Attendri jusqu’aux larmes, ému jusqu’au délire, il réfléchissait avant de répondre, lorsqu’une ou deux vagues furieuses se contrariant dans leur élan, vin-