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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VIII, 1853.djvu/244

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MONTBARS

d’Auray, si elle nous sauve du naufrage ; que par conséquent, nous n’avons rien à craindre : ils ne me croient pas. Ce sont de vrais païens que ces gueux-là ! Je vais me mettre à la pompe, moi ; vous allez voir.

Alain, persuadé qu’à lui seul il était capable de faire jouer la puissante machine, ressentit un étonnement extrême de l’inutilité de ses efforts.

— Tiens ! ça ne va pas, s’écria-t-il : c’est bien drôle. Ah ! je comprends ; c’est une façon de ma chère Sainte-Anne d’Auray de m’avertir qu’il ne faut pas que je me dérange, que l’affaire des chandeliers