Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VIII, 1853.djvu/260

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
254
MONTBARS

vrit en deux : sa coque était criblée de mitraille.

Le canot suspendu à tribord n’avait pas moins souffert que la chaloupe ; atteint par plusieurs boulets, il était complétement hors d’état de servir.

Cette découverte atterra l’équipage. Les mêmes hommes qui naguère refusaient de tenter un dernier effort pour se sauver, se désolèrent alors à la pensée qu’ils ne pouvaient éviter leur destinée.

De Morvan courut au canot maintenu à l’arrière, et qui était resté pendant tout le temps du combat à peu près à