Page:Duplessis - Les Peaux-rouges, 1864.djvu/313

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yeux et fait jaillir sa cervelle. José, sans perdre de temps, se précipita sur le cadavre de son ami, et fourra avidement ses larges mains dans les poches du pantalon du défunt.

— Deux réaux… quelques cigarettes et un vieux jeu de cartes ! s’écria-t-il avec désespoir en montrant ces divers objets à la foule. Ah ! Joachim ! Joachim ! je ne me serais jamais attendu à cette mauvaise plaisanterie, à cet abus de confiance de ta part ! Le souvenir de ta mort sera pour moi un remords éternel.

Ce récit a pour lui le mérite d’être scrupuleusement fidèle.

FIN.