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Page:Duplessis - Un monde inconnu, Tome 2, 1855.djvu/140

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UN MONDE INCONNU

la liberté que la licence. Du reste, il y a là une haute question industrielle et morale, dont l’heureuse solution pourrait seule donner de la vigueur et faire renaître à une toute autre vie, ces belles Amériques, qui se meurent de paresse au sein de l’abondance.

Toujours est-il que les Indiens de Papantla, soit qu’ils doivent ces avantages à leur climat vif et à leurs belles forêts, ne ressemblent que sous très peu de rapports à leurs frères : ardents, actifs, spéculateurs, et songeant à l’avenir ; ils leur sont de beaucoup supérieurs.