Page:Dupont - Les Deux Anges, 1844.djvu/220

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ÉGLOGUE. A M P. Lebrun. LE VIEILLARD, L’ADOLESCENT. L’ ADOLESCENT. Puisque vos coudriers, vos abeilles, ce hêtre Et ce vallon discret dont vous êtes le maître Sont redevenus miens, je pourrai comme avant Redire les chansons que j’apprenais au vent. Ces bords hospitaliers ont de vertes pelouses Dont les rives du Rhin pourraient être jalouses. Le Rhin , dont les clairons agitaient les roseaux, Ne m’aurait jamais fait oublieux de ces eaux