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XII


Le chant cesse, suivi d’un silence effrayant.
Dans la nuit, de nouveau la faux siffle, rayant
De sa rapidité fulgurante l’espace.
L’aède, à la lueur de cet éclair qui passe
Crie, et jette ses mains tremblantes sur ses yeux
Qui restent aveuglés pour avoir vu les dieux.


FIN