Page:Duranty - Le Malheur d’Henriette Gérard.djvu/4

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


À MON CHER AMI CHAMPFLEURY




En faisant ce livre, mon excellent ami, j’ai songé à vous donner, selon la mesure de mes forces, une sorte de témoignage de reconnaissance.


Si le livre réussit, il sera donc le gage de cette profonde reconnaissance que je vous dois, comme au conseiller le plus juste et le meilleur que j’aie trouvé en toutes choses.


S’il ce réussit pas, je tâcherai de faire mieux une autre fois, et de justifier davantage l’encourageante amitié dont vous m’honorez.


DURANTY.


Mars 1860.