Page:Duranty - Le Malheur d’Henriette Gérard.djvu/93

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« Vous avez l’air triste, reprit madame Gérard.

— Moi ? pas du tout… Où est Aristide ?

— Aux chiens !

— Je vais y aller. »

En effet, Corbie ne s’épanouissait très librement qu’entre Aristide et Perrin. Il n’aimait pas à rester longtemps avec des personnes qui lui paraissaient trop spirituelles.

Des visites survinrent et sauvèrent ainsi définitivement madame Gérard et son ami du naufrage.