Page:Duret - Voyage en Asie.djvu/41

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

peintures qui ornent le dernier tombeau des taïcouns à Shiba, et les papiers peints à l’aquarelle d’Hamagoten. Il nous a montré des dessins fort originaux, des aquarelles pleines de grâce, des esquisses au lavis enlevées avec la plus grande dextérité. C’est lui qui fermera la série des artistes purement japonais n’ayant rien pris au dehors ; car les dessins que l’on voit maintenant partout, remplis de figures au profil plus ou moins grec, nous apprennent que les artistes de la nouvelle école sont en voie de se transformer pour subir sans retour l’influence européenne.