Maintenant j’engage le lecteur de prendre la peine de peser la valeur de ces expressions que j’ai rappelées sans les modifier, et de prononcer.
Cette phrase, transcrite d’un ancien écrit, et où les opinions de Bonnet et de ses sectateurs sont rappelées avec défaveur, a causé toute l’irritation ressentie. Je n’eusse pas dû la reproduire ; l’on a même été jusqu’à établir que je n’en avais pas eu le droit. Voilà ce qui a fait dire que je m’étais exprimé sans prendre le ton modéré que les sciences réclament, et en manquant à la politesse qui appartient à tout homme bien élevé.
J’ai eu aussi à faire droit à d’autres réclamations. Aurais-je, en parlant de l’Œuvre française, véritablement dépassé les convenances, par une mesure excessive dans l’éloge ?