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Page:E. Quinet - Merlin l'Enchanteur, 1860.djvu/138

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MERLIN L’ENCHANTEUR.

attendent la vie dans le berceau des mondes futurs, car c’est là qu’est mon domaine. »

À ces mots les deux enchanteurs se quittent en pleurant. Le sage Merlin avait porté le premier un rayon d’espoir et de pitié dans l’enfer. Ce ne fut, il est vrai, qu’un moment ; mais les torturés ne l’oublièrent jamais.