Page:Edgeworth - Belinde T3 T4.djvu/138

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Mon Dieu ! continua Mariette, je croyais, en vérité, que nous étions délivrés de tous ces gens à double face lorsque M. Champfort est sorti de la maison ; mais, hélas ! ils sont si nombreux, qu’il n’y a pas assez de piéges pour les attrapper. C’est bien là cependant le sort que méritent tous les hypocrites, Champfort à leur tête ; cela est certain.

Il faut prendre patience, ma chère Bélinde, dit lady Delacour tranquillement, jusqu’à ce que Mariette ait épuisé toutes ses invectives contre Champfort et ses pareils ; nous pourrons alors ensuite espérer qu’elle arrivera au fait.

Mon Dieu, je vous assure, mylady, qu’il ne s’agit pas du tout de M. Champfort ou d’un de ses pareils ; et, en vérité, j’aurais cru devoir mépriser un millier de personnes telles que M. Champfort, plutôt qu’un seul tel que M. Clarence Hervey.