Page:Edgeworth - Belinde T3 T4.djvu/186

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couverte accidentelle qu’elle fit de sa liaison avec l’odieuse mistriss Luttridge.

Hélène, un matin, était à jouer avec le grand chien de M. Vincent, et qu’il aimait excessivement ; il s’appelait Tomy.

Ma chère Hélène, prenez garde, dit lady Delacour ; ne confiez pas votre main à ce monstrueux animal.

Je puis vous assurer, mylady, s’écria M. Vincent, que c’est le plus doux et le plus aimable chien qu’il y ait dans le monde.

Sans aucun doute, dit Bélinde, en souriant, puisqu’il vous appartient ; car vous savez, M. Percival vous l’a souvent dit, que tout ce qui est sous votre protection devient excellent.

— Sérieusement, lady Delacour, vous ne devez pas du tout vous effrayer si miss Delacour se fie à cette pauvre bête ; pendant un mois entier, je le