rable aux Indes, et un caractère distingué ; il a des parens connus, et, par-dessus tout, il est passionnément amoureux. — C’est tout simple. —
Lady Delacour demanda ce qu’il y avait de nouveau dans le monde : elle savait que cette question occuperait agréablement la douairière. Je suis ici tout-à-fait hors du monde ; mais, puisque lady Boucher a la bonté de venir me voir, nous apprendrons, de la manière la plus certaine, les secrets qui sont dignes de notre connaissance.
Eh bien ! la première nouvelle que j’ai pour vous, c’est que mylord et mylady Delacour sont absolument réconciliés, et qu’ils forment le plus heureux couple qui existe.
Tout cela est très-vrai, répliqua lady Delacour.
Vrai ! répéta lady Boucher ; mais ma chère lady Delacour, vous m’étonnez beaucoup ! — Parlez-vous sérieusement ?