Page:Edgeworth - L Absent tome 1.djvu/127

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beaucoup d’honneur en paraissant un moment à sa fête. Ainsi se termina cette fête qui lui avait fait dépenser tant d’argent, prendre tant de peines, et supporter tant de fatigues, et dont elle s’était promis un si beau triomphe.

« Colambre, faites taire les musiciens, ils ne jouent plus que pour des siéges vides, » dit lady Clonbrony. « Grâce, ma chère, veillez à ce que les lampes soient bien éteintes. Je n’en puis plus ; il faut que je me mette au lit. Quelle corvée ! quelle épreuve pour les nerfs que tout cela ! Je m’étonne qu’on y tienne jusqu’au bout, et je me demande pourquoi on le fait ! »